falia
LES TROIS CRIS
La femme de g.;de Kerlagat,préparait,un matin de très belle heure,sa bouillie d'avoine (youd kerh),lorsqu'elle entendit un cris épouvantable poussé à sa porte,puis un deuxième et un troisième,mais le dernier beaucoup plus fort.Tout avait tremblé dans la maison;elle abandonna sa bouillie et rentra de nouveau dans son lit,et elle ne se leva plus avant le jour.Les jours suivants (1870),quartre personne moururent de la variole dans le village voisin de kerhouan.
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ET DOUBLES ANNONCIATEUR
Souvent,c'est le malade lui-même,ou comme on dit,son"Expérience",qui se fait l'annonciateur de sa propre mort.Il revêt,en ce cas, les formes et les déguisements les plus bizarres.......
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Si j'étais un homme, je viendrai sans hésitation.